vos entrainements


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Mouloudo
Visiteur


Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 13h59


Citation :

tu confonds travail en puissance et travail dynamique

justement je ne coprend pas bien la difference entre les deux... travail en puissance= remontée explosive? ou pas? là est la question lol... comme je le disais dans mon post precedent, bien que mes 60% se trouve approximativement à 100 kilos, je ne me vois pas remonter de maniére "brutale" avec un tel poids... disons qu'à ce poids je descend sur la premiére seconde, puis je remonte sur la deuxiéme etc... ce qui fait qu'une série de 10 par exemple passe en 20 secondes approximativement... sinon cela fait environ deux mois que j'avais abandonné la force pour me consacré à l'explosivité pure, à savoir 8 séries de squats sautés de 8-10 reps à un rythme élevé ( en m'arrétant dés que je considére que le rythme n'est plus suffisament élevé pour travailler mes fibres rapides ce qui selon la forme du jour peut varier) puis des fentes sautées en alternance pour le même nombre de séries et tout ceci à un poids de 43 kilos exactement ( 55% de mon poids)...
Donc d'aprés toi il faudrait que je réinsére de la puissance/force dans mon programme?

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PJV
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Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 15h38


En fait c'est un problème de vocabulaire et de définition, chaque auteur ayant sa propre grille.
Entre la force maximale (100%, exemple en squat la charge max que tu peux soulever une seule fois) et la vitesse (1% ? exemple squat sans charge), il y a différents degrés. Je te donne deux grilles conçues par deux sommités, Verkhoshansky (URSS) et Harre (RDA). Il y en a bien d'autres.

Verkhoshansky
70 à 100% : Force maximale, force explosive avec une résistance externe évelée.
80-90% : Force explosive avec une résistance externe modérée
50-80% : Force maximale avec hypertrophie, vitesse de mouvement et force explosive avec une résistance externe basse.
50-70% : Endurance musculaire locale avec une résistance externe évelée.
30-60% : Endurance musculaire locale avec une résistance externe basse.
20-30% : Rapidité et fréquence de mouvements non chargés.

Harre
85-100% : Force maximale pour les sport "acycliques"
70-85% : Force maximale pour les sports "cycliques"
75% : Puissance et force maximale
30-50% : Puissance sous condition d'améliorer la force max (vitesse d'exécution explosive)
25-60% : Endurance musculaire

En France, je constate qu'on utilise généralement les exercice de "puissance" à 60-70%, d' "explosivité" de 40 à 60%, "dynamiques" à moins de 40%.

Tu vois que certaines catégories se chevauchent, les effets dépendent du nombre de répétitions et des temps de récup utilisés. Ensuite, il y a les régimes de contraction : concentrique, excentrique, statique, et les combinaisons de ces contractions. Bref, au total les choix est large, sans compter la sélection des excercices (squat, développé chouché, mouvements olympiques, etc.....), qui, à % égal, n'auront pas les mêmes conséquences sur le système nerveux et le développement musculaire.

Vu la complexité de ce que j'ai décrit plus haut, je ne peux pas te conseiller de réinsérer ou pas de la puissance/force dans ton programme, je ne fais jamais de coaching par internet, car sauf connaître et travailler avec un athlète, on n'a pas de vue globale de son entraînement. Bon courage!

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9Miler3
Visiteur


Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 15h52


Intéressant tout ça . Ou trouves tu toutes ces données ???

When the going gets though the though get going

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Seb
Visiteur


Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 16h13


PJV :
Je me demandais sous quelle forme faisais-tu travailler leur "système nerveux" à tes athlètes !
J'ai bien compris que tu utilisais le dev couché comme "réserve nerveuse", mais pour le reste c'est plutôt flou !

Vulnerant Omnes, Ultima Necat
(Toutes blessent, la dernière tue)

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PJV
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Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 17h10


9Miler3 : pardon, références : Verkhoshansky : Special Strength Training (Ultimate Athlete Concept, 2006) et Harre : Trainingslehre (Sportverlag, 1976).

Seb : ta question est très pointue et demande des développements, je ne sais pas si le format d'un forum est approprié... L'idée c'est que le système nerveux central demande 48h de repos après une séance de sprint à intensité 92-94% du record perso. Pour un 100m couru en 9.8 (100%), il faut 10 jours. Avec de l'expérience et de l'intuition, l'entraîneur peut planifier les séances en fonction de l'état du système nerveux central pour éviter le surentrainement et que l'athlète suffisamment reposé tire bénéfice des séances. Mon approche est la suivante (j'en n'ai pas le copyright, ça existe depuis longtemps à l'étranger, par contre en France en athlé je ne connais personne avec la même approche) : trouver le moyen d'en faire le minium à l'entraînement pour continer à progresser (froler le sous-entraînement) alors que beaucoup tente de froler et repousser l'autre limite, celle du surentrainement. Paradoxalement, plus le niveau de l'athlète est élevé, moins il doit en faire. C'est lié avec le phénomène décrit plus haut, plus ils courent vite, plus ils ont besoin de récupérer. Tout est bon pour les faire bosser (toute activité sollicite le système nerveux central), les sprinters dont je m'occupent courent, sautent et lancent à chaque entraînement afin de varier les stimuli et empêcher la routine.

Message modifié le jeudi 2 octobre 2008 à 17h12 par PJV

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9Miler3
Visiteur


Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 17h29


PJV a écrit :
9Miler3 : pardon, références : Verkhoshansky : Special Strength Training (Ultimate Athlete Concept, 2006) et Harre : Trainingslehre (Sportverlag, 1976).

Seb : ta question est très pointue et demande des développements, je ne sais pas si le format d'un forum est approprié... L'idée c'est que le système nerveux central demande 48h de repos après une séance de sprint à intensité 92-94% du record perso. Pour un 100m couru en 9.8 (100%), il faut 10 jours. Avec de l'expérience et de l'intuition, l'entraîneur peut planifier les séances en fonction de l'état du système nerveux central pour éviter le surentrainement et que l'athlète suffisamment reposé tire bénéfice des séances. Mon approche est la suivante (j'en n'ai pas le copyright, ça existe depuis longtemps à l'étranger, par contre en France en athlé je ne connais personne avec la même approche) : trouver le moyen d'en faire le minium à l'entraînement pour continer à progresser (froler le sous-entraînement) alors que beaucoup tente de froler et repousser l'autre limite, celle du surentrainement. Paradoxalement, plus le niveau de l'athlète est élevé, moins il doit en faire. C'est lié avec le phénomène décrit plus haut, plus ils courent vite, plus ils ont besoin de récupérer. Tout est bon pour les faire bosser (toute activité sollicite le système nerveux central), les sprinters dont je m'occupent courent, sautent et lancent à chaque entraînement afin de varier les stimuli et empêcher la routine.

Merci je vais aller voir ça de plus prés
Moi je trouve qu'un forum devrait etre approprié à ce genre de débat . Car parler des conneries de la fédération et des coachs qui se prennent pour des stars ça me gave un peu beaucoup ....
Tu m'apprends un truc avec la récupération pour le système nerveux .
Tu parles de 10 jours de récup pour un 100 m parcourru en 9.8 .... Quels sont les effets de la non-récupération nerveuse ???? Celà se traduit par quoi en faite ???
Car quand je vois l' encahinement des courses en grands championnats , j'ai l'impression qu'on récupère quand meme assez rapidement

When the going gets though the though get going

Message modifié le jeudi 2 octobre 2008 à 18h03 par 9Miler3

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PJV
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Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 17h47


Effets de la non-récup : dans les heures qui suivent une grosse perf sur 100m, les sprinters ont des courbatures très intenses, accélération du rythme cardiaque, fièvre, insomnie. Plus la perf se rapproche de la limite humaine, plus les symptômes sont intenses. Ce domaine n'a jamais été exploré par les scientifiques pour la bonne raison que les sujets se comptent sur les doigts de la main, les occasions sont rares et après une telle course, les protocoles rendent impossibles des expériences scientifiques (interview, contrôle anti-dopage, re-interview parfois, soins, dîner, etc). Après son record d'Afrique, Olu disait que c'est comme si on l'avait fracassé contre un mur. Tous ceux qui on couru dans ces eaux-là témoignent de la même chose. Ensuite, si on leur demande de faire un 100m dans les jours qui suivent, ils ne pourront tout simplement pas, ils seront trop raides musculairement et risquent la blessure. Bolt et Powell enchaînent les 100m en 9.8, ce qu'il faut savoir c'est que entre chaque course, ils ne font quasiment rien et ne peuvent pas faire grand chose d'autre

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9Miler3
Visiteur


Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 18h10


Bon c'est pas ton domaine , mais que penses tu de la fatigue nerveuse dans le demi-fond . Est ce un facteur qu'il faut également prendre en compte ????

Sinon tu dis que Bolt et Powell ne font pas grand chose entre leur course !!! Pourtant Bolt a courru en 9'82 ( il me semble ) sa demie et nous fait 9'69 en finale ! Il ne montre aucun signe de fatigue ... Alors je voulais savoir si ces symptomes ( de fatigue ) sont systématiques ou bien celà dépend de chacun ???

When the going gets though the though get going

Message modifié le jeudi 2 octobre 2008 à 18h11 par 9Miler3

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Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 18h26


PJV a écrit :
Effets de la non-récup : dans les heures qui suivent une grosse perf sur 100m, les sprinters ont des courbatures très intenses, accélération du rythme cardiaque, fièvre, insomnie. Plus la perf se rapproche de la limite humaine, plus les symptômes sont intenses. Ce domaine n'a jamais été exploré par les scientifiques pour la bonne raison que les sujets se comptent sur les doigts de la main, les occasions sont rares et après une telle course, les protocoles rendent impossibles des expériences scientifiques (interview, contrôle anti-dopage, re-interview parfois, soins, dîner, etc). Après son record d'Afrique, Olu disait que c'est comme si on l'avait fracassé contre un mur. Tous ceux qui on couru dans ces eaux-là témoignent de la même chose. Ensuite, si on leur demande de faire un 100m dans les jours qui suivent, ils ne pourront tout simplement pas, ils seront trop raides musculairement et risquent la blessure. Bolt et Powell enchaînent les 100m en 9.8, ce qu'il faut savoir c'est que entre chaque course, ils ne font quasiment rien et ne peuvent pas faire grand chose d'autre

Et la choline ? Est ce que c'est utile pour les itw de Nelson Montfort ?

Lolo le coach
Neurone gauche d'Athled

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PJV
Boulimique du forum!

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Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 18h36


9Miler3 : Entre les deux courses il n'a rien fait, à part quelques foulées et des massages. Ceci dit, son 9.85 en demi se situe à près de 2 dixième de son record théorique. Et il a capable de beaucoup mieux sur 200m. A noter que pour chaque course lors des JO son échauffement était minimum, avec surtout des massages et étirements assistés. Pour les symptômes, je ne connais pas de contre-exemple.

Lolo : choline?

Message modifié le jeudi 2 octobre 2008 à 18h37 par PJV

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Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 18h43


PJV a écrit :

Lolo : choline?

Je me suis enduit enduit avec de l'erreur.
Je croyais, comme tu expliquais l'effort maxima représenté par un 100m à fond les ballons, et son cortège de réactions secondaires, qu'il y avait peut-être un intérêt à user de l'acetyl-choline pour retrouver un usage correct de ses neurones et articuler face au sémillant Nelson.
Mais en relisant mes cours, il est bien inscrit que le taux de choline reste stable jusqu'au semi-marathon, d'ou mon erreur. Ouf, je suis humain !

Lolo le coach
Neurone gauche d'Athled

Message modifié le jeudi 2 octobre 2008 à 18h43 par lolo_le_coach

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PJV
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Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 18h52


En fait, il n'y a aucune substance à absorber après un 100m pour que ça aille mieux, repos et douche chaud/froid, massage. Pour ce qui est du demi-fond je ne suis jamais intéressé à la fatigue nerveuse. Par contre, beaucoup a été dit sur la fatigue nerveuse de l'encardement fédéral causée par les demi-fondeurs!

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Seb
Visiteur


Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 23h20


PJV :
Il est vrai que même à mon faible niveau (N3), il m'est arrivé souvent de finir des journées de compétitions, où je faisais 2 tours sur 100m, complètement moribond, ainsi que de finir des saisons en total surentrainement, avec un inévitable goût d'inachevé. Ca fait plaisir d'avoir un début de réponse à mes questionnements pratiques, dommages que je n'ai pas eu la jugeote de comprendre ça tout seul !

Par contre, j'avais lu, il y a quelques temps, que Dan Pfaff, qui semble aussi porter une grande attention au système nerveux central, avait supervisé une séance de lancers de med-ball avec Donovan Bailey le soir de son titre olympique. Est-ce une pratique courante ? Utilisait-il l'euphorie, et ses répercutions nerveuses, du titre dans un interêt athlétique, comme il utilisait le lactique des courses pour "nourrir" le muscle en musculation lors des séances d'entrainement ?

En tout cas, merci, pour le temps passé à répondre à nos divers questions !

Vulnerant Omnes, Ultima Necat
(Toutes blessent, la dernière tue)

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9Miler3
Visiteur


Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 23h52


PJV a écrit :
Pour ce qui est du demi-fond je ne suis jamais intéressé à la fatigue nerveuse. Par contre, beaucoup a été dit sur la fatigue nerveuse de l'encadrement fédéral causée par les demi-fondeurs!

T'as pas trouver un remède à leurs souffrances ??? Des glaçons sur la tete

When the going gets though the though get going

Message modifié le jeudi 2 octobre 2008 à 23h57 par 9Miler3

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9Miler3
Visiteur


Date du message : jeudi 2 octobre 2008 à 23h56


Seb a écrit :
PJV :
Il est vrai que même à mon faible niveau (N3), il m'est arrivé souvent de finir des journées de compétitions, où je faisais 2 tours sur 100m, complètement moribond, ainsi que de finir des saisons en total surentrainement, avec un inévitable goût d'inachevé. Ca fait plaisir d'avoir un début de réponse à mes questionnements pratiques, dommages que je n'ai pas eu la jugeote de comprendre ça tout seul !

Tu comprends maintenant pourquoi Bolt ne s'entraine pas et passse ses nuits en boite .

When the going gets though the though get going

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9Miler3
Visiteur


Date du message : vendredi 3 octobre 2008 à 00h03


PJV a écrit :
9Miler3 : A noter que pour chaque course lors des JO son échauffement était minimum, avec surtout des massages et étirements assistés.

Et des pas de dance hall
Tiens justement que penses tu de son échauffement car beaucoup se sont offusqués de le voir se préparer de la sorte !??!!

When the going gets though the though get going

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roms
Passe son temps sur le forum

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Date du message : vendredi 3 octobre 2008 à 00h19


9Miler3 a écrit :
PJV a écrit : 9Miler3 : A noter que pour chaque course lors des JO son échauffement était minimum, avec surtout des massages et étirements assistés.

Et des pas de dance hall
Tiens justement que penses tu de son échauffement car beaucoup se sont offusqués de le voir se préparer de la sorte !??!!

En parlant de l'échauffement des athlètes et de Bolt un truc m'avait marqué cet été à Pékin en voyant les images, il me semble que j'en avais parlé sur le forum d'ailleurs.

Il faisait une chaleur absolument étouffante, mais la grande majorité des athlètes était pourtant en jogging avec le haut de survet. Ce qui me semblait absolument incohérent. Je suis d'accord qu'il faut garder la chaleur, mais par 35° et 90% d'humidité je ne vois pas ou est le bénéfice d'être habillé chaudement, au contraire. Je peux me tromper mais je trouve que c'est plutôt le signe d'un manque d'adaptation voire de fébrilité.

Bolt lui était en short et T-shirt, détendu, tranquille, pendant que les autres restaient "enfermés" dans leurs certitudes. Sans parler du reste de son échauffement en qui en effet a interloqué beaucoup de monde.

Biensur c'est pas ça qui lui a permit de survoler ces JO, mais comme quoi, quelque soit le type d'échauffement, c'est plutôt la confiance qu'on a dans sa tête qui prime (mais encore une fois c'est Bolt, sa confiance vient aussi de sa supériorité athlétique, forcément les 2 sont liés).

http://www.championnet-athle.info

Message modifié le vendredi 3 octobre 2008 à 00h23 par roms

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PJV
Boulimique du forum!

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Date du message : vendredi 3 octobre 2008 à 00h32


Seb : où as-tu lu cela? C'est vrai, Bailey est passé en salle de muscu le soir de son titre olympique sur 100m, mais il ne faut pas oublier qu'il s'était blessé à Nice deux semaines avant les JO, et que la préparation terminale a été très délicate, basée sur des soins intensifs et très peu de course évidemment, remplacées par d'autres exercices. La répétition des courses sur 100m (4 tours) pesait beaucoup dans la balance et il fallait essayer d'équilibrer avec les exercices d'entraînement généraux (comme le medicine ball) auquel l'athlète s'était adapté. Le medicine ball est utilisé par Dan, en autres choses, pour refaire le plein des réserves de glycogène (pour effet rebond - c'est le cas de le dire ). Cela a fonctionné car Bailey a réalisé un superbe dernier parcours de relais (8.95 en coupant son effort) pour son deuxième titre olympique. Pas mal pour un convalescent ! Evidemment ce n'est pas à copier car c'est de l'improvisation pure, dans des conditions qui ne se reproduiront plus!

9Miler3 : l'échauffement de Bolt a été discuté dans le forum mais je ne retrouve plus le post. J'en avais fait une chronique dans Libé, l'échauffement est individuel, ce n'est pas une séance, il doit simplement permettre à l'athlète d'être prêt à courir très vite et ne pas se blesser. A l'évidence, cet échuaffement convient très bien à Bolt.

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9Miler3
Visiteur


Date du message : vendredi 3 octobre 2008 à 01h11


PJV a écrit :
9Miler3 : l'échauffement de Bolt a été discuté dans le forum mais je ne retrouve plus le post. J'en avais fait une chronique dans Libé, l'échauffement est individuel, ce n'est pas une séance, il doit simplement permettre à l'athlète d'être prêt à courir très vite et ne pas se blesser. A l'évidence, cet échuaffement convient très bien à Bolt.

Oui bien sur . Mais d'aprés je ne sais plus quel entraineur ce type d'échauffement c'était du n'importe quoi , tout ce qu'il ne fallait pas faire d'aprés lui ( encore un qui croit tout connaitre certainement ) .... Donc je voulais simplement connaitre ton avis sur la question

When the going gets though the though get going

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Seb
Visiteur


Date du message : vendredi 3 octobre 2008 à 09h55


9Miler3 :
L'entraineur en question, qui avait fait sa chronique dans l'Equipe, est Jacques Piasenta, qui a peut-être une vision énorme de son savoir, mais aussi quelques titres pour l'étayer !
Mais, je me souviens qu'il expliquait sa peur vis-a-vis d'une blessure, pour Bolt, car il voulait voir tomber le record de Johnson !

PJV :
Je ne me souviens plus où j'ai lu ça, mais ça m'avait marqué, d'autant plus maintenant que je connais le contexte, chapeau pour l'adaptation ! J'imagines que le contexte post-olympique de Ronald était relativement proche !

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