Suspicions de dopage


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Mexico68
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Date du message : dimanche 6 octobre 2019 à 11h56


Je n'avais pas encore entendu parler de ce produit, je dois être en retard, c'est un commentaire sur le site de l'Équipe qui a attiré mon attention, j'ai donc cherché sur le web , il y a pas mal d'articles. Mais son utilisation semble bien correspondre au physique incroyable de maigreur de Farah,Hassan ou Klosterhalfen. J'ai été frappé par le fait que les deux femmes soient aussi maigres avec des cuisses filiformes mais qui ne les empêchent pas de développer de la puissance!
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Message modifié le dimanche 6 octobre 2019 à 11h56 par Mexico68

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Mexico68
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Date du message : dimanche 6 octobre 2019 à 11h58


Je remets un lien
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Mexico68
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Date du message : dimanche 6 octobre 2019 à 12h04


Ça marche pas.
Je mets l'article.
L’AICAR, la nouvelle potion magique

Publié le 17/07/2013 à 12:38 , modifié le 07/12/2017 à 18:14

Il y a eu le « Pot Belge », la créatine, l’EPO, et bien d’autres produits encore… Aujourd’hui l’AICAR se présente comme la pilule miracle des tricheurs, ce qui inquiète grandement les autorités. Et le cyclisme est loin d'être le seul sport visé.

Pourtant connue depuis 1956, c’est en 2007 que le professeur Ronald Evans, effectuant des recherches sur l’obésité, a mis en valeur les caractéristiques de la substance. Et depuis les JO de Pékin en 2008, les scientifiques spécialisés en matière de dopage parlent d’un produit révolutionnaire. L’acadésine, ou AICAR, est encore à ce jour difficilement détectable car elle est présente naturellement dans le corps humain, mais son nom figure bel et bien sur la liste noire de l’Agence Mondiale Antidopage (l’AMA).

Des effets secondaires plus ou moins connus

Augmenter la masse musculaire, et brûler les graisses sans le moindre effort, est l’incroyable particularité de cette molécule. En clair, terminés les entraînements sous la pluie, le vent et le froid ! Il vous suffit d’absorber cette potion magique et vos capacités physiques sont décuplées. Mais comme tout produit dopant, les effets secondaires ont plutôt de quoi faire réfléchir, avec notamment des perturbations d’ordre hépatique et cérébral. Mais il reste encore de nombreuses études à réaliser pour donner une liste exhaustive des effets secondaires. Il ne s’agit donc surtout pas d’un produit à prendre à la légère.

Selon l’expérience réalisée en 2007 par le professeur Evans, des rats ayant ingurgité de l’AICAR, étaient 44% plus endurants que leurs camarades nourris au gruyère, c’est dire si cette molécule est puissante. Surnommée « la pilule de l’exercice », l’AICAR sert à des expérimentations, et n’est, a fortiori, pas censée être utilisée comme médicament, ou même complément alimentaire par les hommes. Quatre études, répertoriées par le NIH américain (institut américain de la santé), démontrent que des essais ont toutefois bien été effectués sur des êtres humains. S’il est interdit de l’importer en France, il est curieusement assez aisé de s’en procurer par certains sites qui n’hésitent pas à classer ce produit dans la catégorie « thérapie cardiaque ».

De l'AICAR dans les valises

Tous les sports exigeant une certaine endurance peuvent être concernés. Pour le coureur de fond, le cycliste, mais aussi le tennisman, ou le footballeur, cette molécule possède tous les attributs d’un produit miracle. Des premiers cas de dopage ont déjà été révélés dans le cyclisme. Le sulfureux médecin sportif colombien Alberto Beltran, avait par exemple été interpellé l’an passé avec de l’Aicar dans ses valises.

Les progrès de la médecine ont du bon, mais il existe là aussi un revers de la médaille. Que ce soit dans le vélo, le football, le tennis, la natation, l’athlétisme, ou dans d’autres sports, la tentation de tricher par le biais de produits illicites a toujours été présente. Et malgré les campagnes de prévention et la lutte contre le dopage, les affaires éclatent encore en 2013, n’en déplaisent aux athlètes Tyson Gay ou Asafa Powell. Tant qu’il y aura des intérêts économiques aussi importants, l’éradication du dopage ressemblera à une douce utopie. Ils sont encore trop nombreux, prêts à tout et même à risquer leur propre santé, pour empocher des prix toujours plus importants.

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Mexico68
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Date du message : dimanche 6 octobre 2019 à 12h06


La suite:
Les régimes fleurissent sur les courts de tennis

Deux ans après les travaux effectués par le professeur Evans, l’AMA s’est interrogée sur l’aspect physique de certains athlètes de haut niveau, d’autant que dans la même période, certains sportifs ont soudainement changé de régime alimentaire et perdu du poids. En 2011, la mode du "gluten free" a vu le jour, une mode lancée involontairement par Novak Djokovic qui avait fait part de son allergie au gluten. Le désormais N.1 mondial a fait rapidement des adeptes de ce régime, à commencer par ses compatriotes, Janko Tipsarevic et Ana Ivanovic, mais aussi l’Allemande Sabine Lisicki, qui s’est également prise de passion pour ce régime. Y a-t-il un lien entre cette perte de poids et cette nouvelle molécule ?

Certains s’interrogent. Si les coureurs cyclistes ont toujours été affûtés, certains d’entre eux, qui ont récemment perdu encore quelques kilogrammes, n’ont guère plus que la peau sur les os. Mais cela ne les empêche pas pour autant d’enchaîner des efforts toujours plus intenses, en ayant amélioré leur rapport poids-puissance. On peut aussi s’interroger sur l’intérêt de prendre un produit aussi onéreux. Car pour bénéficier d’une cure efficace, il devrait vous en coûter la coquette somme de 50 000 euros par mois.

De son côté, l’Agence française de lutte anti dopage (AFLD) avait tiré la sonnette d’alarme dès le Tour de France 2009, pointant du doigt l’anormal maigreur de quelques coureurs. Depuis, des représentants de l’AFLD ont affirmé que cette substance est d’ores et déjà largement utilisée dans le milieu sportif. Alors que l’espoir d’un test de dépistage probant reste d’actualité, les amoureux du sport rêvent encore d’un monde sans dopage.

Vidéo: L'enquête de Stade 2 du 6 janvier 2013

Voir la video

Romain Bonte
France TV Sport

Message modifié le dimanche 6 octobre 2019 à 12h42 par Mexico68

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philathle
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Date du message : dimanche 6 octobre 2019 à 17h57


Ouuu… Effrayant.

Bon au moins, vu la somme de 150 euros en litige dans les fameux messages WhatsApp d'Amdouni, on sait au moins qu'il ne s'agit pas de ce produit…

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silvio
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Date du message : dimanche 6 octobre 2019 à 19h33


AICAR

ouai ca fait quelques années que ce produit fait polemique...a commencer par les sky

il suffit d'écrire sur google AICAR CYCLISME .

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ed_guerrouj
Webmaster - Fondateur d'Athled

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Date du message : lundi 7 octobre 2019 à 11h37


Mexico68 a écrit :

La suite:
Les régimes fleurissent sur les courts de tennis

Deux ans après les travaux effectués par le professeur Evans, l’AMA s’est interrogée sur l’aspect physique de certains athlètes de haut niveau, d’autant que dans la même période, certains sportifs ont soudainement changé de régime alimentaire et perdu du poids. En 2011, la mode du "gluten free" a vu le jour, une mode lancée involontairement par Novak Djokovic qui avait fait part de son allergie au gluten. Le désormais N.1 mondial a fait rapidement des adeptes de ce régime, à commencer par ses compatriotes, Janko Tipsarevic et Ana Ivanovic, mais aussi l’Allemande Sabine Lisicki, qui s’est également prise de passion pour ce régime. Y a-t-il un lien entre cette perte de poids et cette nouvelle molécule ?

Certains s’interrogent. Si les coureurs cyclistes ont toujours été affûtés, certains d’entre eux, qui ont récemment perdu encore quelques kilogrammes, n’ont guère plus que la peau sur les os. Mais cela ne les empêche pas pour autant d’enchaîner des efforts toujours plus intenses, en ayant amélioré leur rapport poids-puissance. On peut aussi s’interroger sur l’intérêt de prendre un produit aussi onéreux. Car pour bénéficier d’une cure efficace, il devrait vous en coûter la coquette somme de 50 000 euros par mois.

De son côté, l’Agence française de lutte anti dopage (AFLD) avait tiré la sonnette d’alarme dès le Tour de France 2009, pointant du doigt l’anormal maigreur de quelques coureurs. Depuis, des représentants de l’AFLD ont affirmé que cette substance est d’ores et déjà largement utilisée dans le milieu sportif. Alors que l’espoir d’un test de dépistage probant reste d’actualité, les amoureux du sport rêvent encore d’un monde sans dopage.

Vidéo: L'enquête de Stade 2 du 6 janvier 2013

Voir la video

Romain Bonte
France TV Sport

Par contre je ne suis pas sur de voir le lien entre le dopage et les régimes.
Perso j'avais des gros problème de dos que j'ai résolu avec un régime sans féculents (donc sans gluten et meme plus). Aujourd'hui j'ai retrouvé les sensations en course à pied que j'avais il y a une dizaine d'années, et tout le monde trouve que j'ai perdu du poids (je suis loin d'avoir la peau sur les os!). Mais le fait est que réduire les sucres lents assèche...

------------------------------
Ed Guerrouj, neurone droit
- Impossible Is Nothing -

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ALAIN25
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Date du message : mardi 8 octobre 2019 à 06h18


Mexico68 a écrit :

Ça marche pas.
Je mets l'article.
L’AICAR, la nouvelle potion magique

Publié le 17/07/2013 à 12:38 , modifié le 07/12/2017 à 18:14

Il y a eu le « Pot Belge », la créatine, l’EPO, et bien d’autres produits encore… Aujourd’hui l’AICAR se présente comme la pilule miracle des tricheurs, ce qui inquiète grandement les autorités. Et le cyclisme est loin d'être le seul sport visé.

Pourtant connue depuis 1956, c’est en 2007 que le professeur Ronald Evans, effectuant des recherches sur l’obésité, a mis en valeur les caractéristiques de la substance. Et depuis les JO de Pékin en 2008, les scientifiques spécialisés en matière de dopage parlent d’un produit révolutionnaire. L’acadésine, ou AICAR, est encore à ce jour difficilement détectable car elle est présente naturellement dans le corps humain, mais son nom figure bel et bien sur la liste noire de l’Agence Mondiale Antidopage (l’AMA).

Des effets secondaires plus ou moins connus

Augmenter la masse musculaire, et brûler les graisses sans le moindre effort, est l’incroyable particularité de cette molécule. En clair, terminés les entraînements sous la pluie, le vent et le froid ! Il vous suffit d’absorber cette potion magique et vos capacités physiques sont décuplées. Mais comme tout produit dopant, les effets secondaires ont plutôt de quoi faire réfléchir, avec notamment des perturbations d’ordre hépatique et cérébral. Mais il reste encore de nombreuses études à réaliser pour donner une liste exhaustive des effets secondaires. Il ne s’agit donc surtout pas d’un produit à prendre à la légère.

Selon l’expérience réalisée en 2007 par le professeur Evans, des rats ayant ingurgité de l’AICAR, étaient 44% plus endurants que leurs camarades nourris au gruyère, c’est dire si cette molécule est puissante. Surnommée « la pilule de l’exercice », l’AICAR sert à des expérimentations, et n’est, a fortiori, pas censée être utilisée comme médicament, ou même complément alimentaire par les hommes. Quatre études, répertoriées par le NIH américain (institut américain de la santé), démontrent que des essais ont toutefois bien été effectués sur des êtres humains. S’il est interdit de l’importer en France, il est curieusement assez aisé de s’en procurer par certains sites qui n’hésitent pas à classer ce produit dans la catégorie « thérapie cardiaque ».

De l'AICAR dans les valises

Tous les sports exigeant une certaine endurance peuvent être concernés. Pour le coureur de fond, le cycliste, mais aussi le tennisman, ou le footballeur, cette molécule possède tous les attributs d’un produit miracle. Des premiers cas de dopage ont déjà été révélés dans le cyclisme. Le sulfureux médecin sportif colombien Alberto Beltran, avait par exemple été interpellé l’an passé avec de l’Aicar dans ses valises.

Les progrès de la médecine ont du bon, mais il existe là aussi un revers de la médaille. Que ce soit dans le vélo, le football, le tennis, la natation, l’athlétisme, ou dans d’autres sports, la tentation de tricher par le biais de produits illicites a toujours été présente. Et malgré les campagnes de prévention et la lutte contre le dopage, les affaires éclatent encore en 2013, n’en déplaisent aux athlètes Tyson Gay ou Asafa Powell. Tant qu’il y aura des intérêts économiques aussi importants, l’éradication du dopage ressemblera à une douce utopie. Ils sont encore trop nombreux, prêts à tout et même à risquer leur propre santé, pour empocher des prix toujours plus importants.

Comment voulez vous inciter nos athlètes à persister s'il faut en passer par là ?
Comment voulez que des parents amènent leurs enfants en apprenant cela ?
Tant que l'on ne radiera pas à vie cela ne fonctionnera pas. Même si avec une 2e chance on a une rare médaille !

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philathle
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Date du message : mardi 8 octobre 2019 à 07h42


ALAIN25 a écrit :

Comment voulez vous inciter nos athlètes à persister s'il faut en passer par là ?
Comment voulez que des parents amènent leurs enfants en apprenant cela ?
Tant que l'on ne radiera pas à vie cela ne fonctionnera pas. Même si avec une 2e chance on a une rare médaille !

Je ne vois pas en quoi radier à vie dès la première infraction dissuaderait beaucoup plus les éventuels contrevenants que la liste des possibles effets secondaires… Et ce d'autant plus que l'on dit bien dans l'article que mettre en évidence le dopage par l'AICAR n'est pas simple. Encore une fois, la peine de mort, quand elle existait, ne dissuadait pas grand monde… Et ce n'est pas parce qu'il y a parfois récidive que le système de 2ème chance est mauvais.

Et puis, avant de parler de la dureté des sanctions, encore faudrait-il que l'on soit capable de confondre ceux et celles qui prennent ce genre de produit. Et là apparemment ça paraît assez compliqué. En plus, je suppose que quand on est capable de mettre de telles sommes sur la table pour se doper avec des substances de pointe, tout est à l'avenant et l'on bénéficie d'une organisation solide, donc d'une certaine sécurité pour ne pas se faire choper.

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ALAIN25
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Date du message : mardi 8 octobre 2019 à 08h04


philathle a écrit :
ALAIN25 a écrit :

Comment voulez vous inciter nos athlètes à persister s'il faut en passer par là ?
Comment voulez que des parents amènent leurs enfants en apprenant cela ?
Tant que l'on ne radiera pas à vie cela ne fonctionnera pas. Même si avec une 2e chance on a une rare médaille !

Je ne vois pas en quoi radier à vie dès la première infraction dissuaderait beaucoup plus les éventuels contrevenants que la liste des possibles effets secondaires… Et ce d'autant plus que l'on dit bien dans l'article que mettre en évidence le dopage par l'AICAR n'est pas simple. Encore une fois, la peine de mort, quand elle existait, ne dissuadait pas grand monde… Et ce n'est pas parce qu'il y a parfois récidive que le système de 2ème chance est mauvais.

Et puis, avant de parler de la dureté des sanctions, encore faudrait-il que l'on soit capable de confondre ceux et celles qui prennent ce genre de produit. Et là apparemment ça paraît assez compliqué. En plus, je suppose que quand on est capable de mettre de telles sommes sur la table pour se doper avec des substances de pointe, tout est à l'avenant et l'on bénéficie d'une organisation solide, donc d'une certaine sécurité pour ne pas se faire choper.

En effet mais cela "pourrait", pas encore certain vu les sommes derrière engrangées dissuader de futurs consommateurs qui ne sont pas encore passés par la caisse du supermarché. A l'approche d'un radar on ralenti même si on accélère ensuite. Le risque.

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Mexico68
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Date du message : mardi 8 octobre 2019 à 11h07


L'interdit effectivement n'empêche pas le passage à l'acte. La seconde chance est normale comme pour les personnes qui ont commis un délit et sont passées par la prison. Je ne vois pas pourquoi cela ne s'appliquerait pas dans le sport où les conséquences ne sont quand même pas les mêmes...Par contre à la deuxième infraction une suspension très longue faisant en sorte que la reprise à un haut niveau serait impossible me semblerait plus intéressante. Oui il faudrait mettre plus de moyens dans la recherche de ces produits et ne pas oublier la responsabilité des entraîneurs. Pour Q.Bigot je pense que ses regrets sont très sincères et pour ceux qui disent que les produits continuent leur effet après l'arrêt, depuis la fin de sa suspension Quentin n'a pas amélioré son record d'avant suspension qui date de 2014. Par contre pour Gatlin on peut se poser des questions. Est-ce que la médaille de bronze de notre hurdleuse aux JO avait soulevé des réactions négatives? Perso je ne m'en souviens pas....

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philathle
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Date du message : mardi 8 octobre 2019 à 12h14


Mexico68 a écrit :

Est-ce que la médaille de bronze de notre hurdleuse aux JO avait soulevé des réactions négatives? Perso je ne m'en souviens pas....

Ben non… A l'époque pratiquement personne n'avait rappelé sa suspension passée, arrivée elle aussi au même âge que Quentin. Mais à l'époque, il n'y avait pas de réseaux sociaux ni l'information en continu et en temps réel, et c'est tout juste si les médias faisaient mention des contrôles positifs et des suspensions. C'était un peu l'omerta sur le dopage...
Message

Mexico68
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Date du message : mardi 8 octobre 2019 à 12h20


philathle a écrit :
Mexico68 a écrit :

Est-ce que la médaille de bronze de notre hurdleuse aux JO avait soulevé des réactions négatives? Perso je ne m'en souviens pas....

Ben non… A l'époque pratiquement personne n'avait rappelé sa suspension passée, arrivée elle aussi au même âge que Quentin. Mais à l'époque, il n'y avait pas de réseaux sociaux ni l'information en continu et en temps réel, et c'est tout juste si les médias faisaient mention des contrôles positifs et des suspensions. C'était un peu l'omerta sur le dopage...

C'est bien ce que je pensais.

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Chony
Membre historique

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Date du message : mardi 8 octobre 2019 à 17h53


Je vous invite a lire le rapport de l'AAA vs Salazar/NOP.

Les echanges d'email sont dingues. Le dopage ne tient qu'a des regles de dosage etablies (arbitrairement) et le NOP est en permanence a 2 doigts de passer de l'autre cote de la barriere d'un point de vue "legal" j'entends. D'un point de vue ethique, no comment.

Je vous invite a lire ca aussi. Comme quoi, ces pauvres athletes sont de vrais rats de laboratoire.

https://www.letsrun.com/wp-content/uploads/2017/05

________
Jonathan

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Eole
Pilier de bar du forum

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Date du message : mardi 8 octobre 2019 à 18h23


philathle a écrit :
Mexico68 a écrit :

Est-ce que la médaille de bronze de notre hurdleuse aux JO avait soulevé des réactions négatives? Perso je ne m'en souviens pas....

Ben non… A l'époque pratiquement personne n'avait rappelé sa suspension passée, arrivée elle aussi au même âge que Quentin. Mais à l'époque, il n'y avait pas de réseaux sociaux ni l'information en continu et en temps réel, et c'est tout juste si les médias faisaient mention des contrôles positifs et des suspensions. C'était un peu l'omerta sur le dopage...

Ou pas . Perso pas plus pas moins oublié alors que pour Quentin Bigot cette année.
Et je devais pas etre le seul .. enfin j espere

Message

philathle
Pilier de bar du forum

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Date du message : mardi 8 octobre 2019 à 20h17


Eole a écrit :
philathle a écrit :
Mexico68 a écrit :

Est-ce que la médaille de bronze de notre hurdleuse aux JO avait soulevé des réactions négatives? Perso je ne m'en souviens pas....

Ben non… A l'époque pratiquement personne n'avait rappelé sa suspension passée, arrivée elle aussi au même âge que Quentin. Mais à l'époque, il n'y avait pas de réseaux sociaux ni l'information en continu et en temps réel, et c'est tout juste si les médias faisaient mention des contrôles positifs et des suspensions. C'était un peu l'omerta sur le dopage...

Ou pas . Perso pas plus pas moins oublié alors que pour Quentin Bigot cette année.
Et je devais pas etre le seul .. enfin j espere

Ben moi non plus je n'avais pas oublié, ainsi, je pense, que tous ceux qui s'intéressent de près à l'athlé. Mais je parle du grand public qui ne suit l'athlé que pour les JO et les CM. Je pense que ce grand public n'était alors absolument pas au courant de la suspension de PG pour dopage quelques années avant, et d'ailleurs personne (à tort ou à raison ?) ne lui avait rappelé ce souvenir lors des interviews d'après compète. Tout le contraire de Bigot cette année…
De même les médias font beaucoup plus cas aujourd'hui des contrôles positifs quand ils touchent des français de premier plan. Le "feuilleton" Calvin a quand même fait l'objet de pas mal d'articles de presse écrite ou télévisuelle fournis !

Message

Eole
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Date du message : mardi 8 octobre 2019 à 21h55


philathle a écrit :
Eole a écrit :
philathle a écrit :
Mexico68 a écrit :

Est-ce que la médaille de bronze de notre hurdleuse aux JO avait soulevé des réactions négatives? Perso je ne m'en souviens pas....

Ben non… A l'époque pratiquement personne n'avait rappelé sa suspension passée, arrivée elle aussi au même âge que Quentin. Mais à l'époque, il n'y avait pas de réseaux sociaux ni l'information en continu et en temps réel, et c'est tout juste si les médias faisaient mention des contrôles positifs et des suspensions. C'était un peu l'omerta sur le dopage...

Ou pas . Perso pas plus pas moins oublié alors que pour Quentin Bigot cette année.
Et je devais pas etre le seul .. enfin j espere

Ben moi non plus je n'avais pas oublié, ainsi, je pense, que tous ceux qui s'intéressent de près à l'athlé. Mais je parle du grand public qui ne suit l'athlé que pour les JO et les CM. Je pense que ce grand public n'était alors absolument pas au courant de la suspension de PG pour dopage quelques années avant, et d'ailleurs personne (à tort ou à raison ?) ne lui avait rappelé ce souvenir lors des interviews d'après compète. Tout le contraire de Bigot cette année…
De même les médias font beaucoup plus cas aujourd'hui des contrôles positifs quand ils touchent des français de premier plan. Le "feuilleton" Calvin a quand même fait l'objet de pas mal d'articles de presse écrite ou télévisuelle fournis !

C'est pas faux effectivement

.

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cross4hsteeple
Boulimique du forum!

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Date du message : mercredi 9 octobre 2019 à 00h22


En effet, le lien est édifiant. Merci.

Un lien vers le rapport de l´AAA ? (=USADA ?), dont la lecture m´intéresserait beaucoup ?

Chony a écrit :

Je vous invite a lire le rapport de l'AAA vs Salazar/NOP.

Les echanges d'email sont dingues. Le dopage ne tient qu'a des regles de dosage etablies (arbitrairement) et le NOP est en permanence a 2 doigts de passer de l'autre cote de la barriere d'un point de vue "legal" j'entends. D'un point de vue ethique, no comment.

Je vous invite a lire ca aussi. Comme quoi, ces pauvres athletes sont de vrais rats de laboratoire.

https://www.letsrun.com/wp-content/uploads/2017/05

Message

ed_guerrouj
Webmaster - Fondateur d'Athled

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Date du message : mercredi 9 octobre 2019 à 06h23


Chony a écrit :

Je vous invite a lire le rapport de l'AAA vs Salazar/NOP.

Les echanges d'email sont dingues. Le dopage ne tient qu'a des regles de dosage etablies (arbitrairement) et le NOP est en permanence a 2 doigts de passer de l'autre cote de la barriere d'un point de vue "legal" j'entends. D'un point de vue ethique, no comment.

Je vous invite a lire ca aussi. Comme quoi, ces pauvres athletes sont de vrais rats de laboratoire.

https://www.letsrun.com/wp-content/uploads/2017/05

De ce que je comprends, c’est ça Alberto Salazar. Un gars qui remet tout en cause, qui joue avec le feu constamment, les règles, les limites. Il joue avec les doses, il trouve des excuses pour que ses athlètes les prennent, il les teste sur ton fils... ou même sur lui même. Un gars convaincu d’etre toujours dans les règles. Je viens de voir que Neil Black le directeur de la performance à la fédération britannique démissionne à cause de ses rapports avec Salazar via Mo Farah. Et qu’il qualifiait Salazar de « génie ». Il y a un côté Armstrong dans tout ça...

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Ed Guerrouj, neurone droit
- Impossible Is Nothing -

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ivalo
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Date du message : mercredi 9 octobre 2019 à 07h05


ed_guerrouj a écrit :

Il y a un côté Armstrong dans tout ça...

C'est peut-être pour ça qu'il voulait décrocher la lune ...