Eole a écrit : ALAIN25 a écrit :Une usine à gaz de plus du XXIe siècle (en référence au classement des clubs....) quand on veut faire simple. 10 pages le nouveau règlement par rapport aux années 80...90...où dans le tout petit livret fédéral distribué cela tenait en 6 pages....et où on ne changeait pas les règles aussi souvent ?
Nan nan je parlais juste de la petition où y en a vraiment aussi pour tous les gouts
Ce monde me surprendra toujours
En conclusion de cette pétition, il est dit que les interclubs sont "une compétition si chère à l’athlétisme français. Pour le coup ce n’est sans doute pas faux… 
Blague à part, outre l’aspect "concertation" pas si clair que ça, n’étant nullement concerné (je sais, je ne vais pas me faire que des amis en disant cela…) je me garderai bien de discuter sur le fond de ces décisions et des arguments développés pour les contester. Après c’est finalement toujours un peu la même chose, dès que de nouvelles orientations sont prises, ça râle forcément jusqu’à ce que tout le monde s’y habitue… et qu’alors de nouvelles orientations arrivent et que la râlerie recommence. C’est quand même quelque chose de très courant en France…. 
Autrement, oui la lecture de la pétition donne quand même l’impression d’une part que l’on est allé chercher le bout du bout d’un argumentaire tous azimuts, mais d’autre part que finalement c’est essentiellement la décision de limiter à 8 le nombre d’étrangers et de mutés pouvant participer à ces interclubs qui pose vraiment problème à ces clubs "élites". Alors d’un certain côté cette levée de boucliers ne me paraît pas illogique à l’heure où l’on réclame du professionnalisme à tous les étages et où l’on "sanctionnerait" donc les clubs qui ont le plus de moyens pour vivre (un peu) ce professionnalisme.
Mais bon, encore une fois ces préoccupations sont très loin de mon tout petit univers, et ces "gesticulations" quasi permanentes autour des interclubs ont donc plutôt tendance à m’amuser. Cela dit je ne devrais pas, car j’ai aussi bien conscience de l’importance et de l’émotion (sans doute un peu démesurées) que suscite chaque année cette compétition "usine à gaz" dans tous les échelons de notre athlé.