stop aux chasseurs de primes!

toutes les primes des grandes courses en france sont rafflées par les kényans, YEN A MARRE!!!!!!! vous ne pouvez pas faire une bonne répartition des primes de façon que les premiers francais soient aussi récompensés, qu'il n'y en ait pas que pour les kényans!!!!!!!

Faut courir plus vite

Il faut savoir que les Kenyans ont besoin de manger, de se vetir et de se loger.

n'est ce pas ?

tout à fait d'accord avec toi Seb !!!!

puis ben les autres il faut courrir plus vite c tout!!!

Une question intéressante qui mérite d'être débattue, j'ai parlé avec de nombreux managers ces derniers jours et je peux vous dire que les Kenyans seront encore plus nombreux à l'avenir à venir courir en France, les Russes sont quasiment inexistants de nos jours : une vague déferlante d'Ethiopie et de Tanzanie est aussi en route : ces pays sont plus stricts en terme de visas et de carte de séjours mais les Ethiopiens ont les dents plus longues : ils n'hésiteront pas à venir pour 150 euros...

y aura du spectacle alors!!! lol

La différence c est que les français veulent les primes avant de courrir et que les kenyans commencent par courir et ensuite ils empochent les primes

oui c certain qu'il faut courir plus vite...ceci dit ce n'est pas non plus forcement encourager les tres bons athletes francais (et notamment les jeunes espoirs) à poursuivre et à parfois faire des sacrifices qd ils savent qu'il y aura de tte facon 10 kenyans devant... il faut aussi penser à motiver nos athlètes m si la tune ne doit pas etre la seule motivation...

Lucho a écrit :

La différence c est que les français veulent les primes avant de courrir et que les kenyans commencent par courir et ensuite ils empochent les primes

s'es vrai ce que tu dis les français son trop fénéants et ils n'on pas faim

C'est surtt qu'avec une prime de 200€ à la fin de la course, le français doit aller recourir le week-end d'après pr acheter son steak haché "Charal" ou son dernier jean "Diesel" alors que le Kenyan, après quelques victoires, il rentre au pays avc un pouvoir d'achat 10.000 fois supérieur (10.000 fois, il faudra que je controle ça parce que c'était peut-être plus...) dc il y a moyen avc un bon investissement de vivre confortablement...
Honnêtement, aujourd'hui avc 200€ en France, que fait-on? A part un grec le mercredi, un Mcdo le samedi, un ciné, une boîte, le loyer, la bouffe, ta nana (tu veux lui faire plaisir)...bah en fait tu fais rien...

Moi ici aux USA, je m'entraîne avc un Kenyan, et je peux vs dire qu'il est super cool, et que je les aime bien moi ces kenyans...pr moi ils resteront les plus fort en 1/2 fond (mm si Ethiopie il y a, je sens Ianou qui va intervenir lol...)...Alors moi je fais une dédicace à mon Kenyan à moi, Geoffrey Lagat et je dis "SA SA"...(j'aurai pu dire "paulé paulé")

je n'ais rien contre les kényans mais c vrai qu'il n'ont pas grandi comme nous, eux depuis tout petit ils couraient déjà pour aller à l'école, nous en france on avait tous les moyens de transport, mais en même temps on y ait pour rien et c la raison pour laquelle ils dominent largement la discipline.
on est quand même en france, je comprends tout a fait que les kényans viennent gagner leurs vie ici (on aurait fait pareils) mais qu'est ce qui reste pour les francais ??? la vie est chère ici, nous aussi nous avons besoin de ces primes pour pouvoir bien vivre et nourrir la famille sachant que le temps que nous demande l'entrainement ne nous permet pas d'avoir un job bien rémunéré et puis si on compte sur la fédération on est mal barré!
je ne dis pas de supprimer les primes pour les kényans mais de répartir un peu mieux avec les premiers francais, car tout le monde qu'on ne peut pas être à leur niveau, eux l'entrainement ils l'ont commencé à 5 ans!!!

ok avec toi jonh les kenyans sont à mon avis meilleur que les éthiopiens et j'ai moi aussi eu la chance de m'entrainer avec un kenyan le pauvre c'était en hiver dans l'aisne et il caillait mais il nous mettait 5" sur des 200 en VMA quand même !!!

vous oubliez que les kenyans ils doivent payer leur billet d'avion, leur séjour et les déplacements en europe, et lacher 15 ou 20% au manager.
Non seulement ils doivent gagner, mais ils doivent gagner toutes les semaines, quand ils ne courrent pas 2 fois par week-end.
Et tout ça à l'eau claire bien sur

C'est bien ou pas bien selon le point de vue qu'on a, mais de toute façon on ne peut rien y faire. C'est la loi du marché et du spectacle sportif.

petite anecdote, il m'arrive très souvent d'offrir des photos à des coureurs qui me demandent de les acheter, je les offre avec plaisir car je fais cela pour le plaisir et non pour l'argent..... mais les seules personnes qui insistent pour me dédommager, ce sont les coureurs Kényans, avant de retourner chez eux pour nourrir et éduquer toutes leurs familles pendant plusieurs mois, ils souhaitent me donner 5 ou 10 euros par photos alors que cela peut représenter une semaine de nourriture pour toute la famille

je comprend que certains ralent, d'un autre coté si l'athlé faisait vivre, cela se saurait, sur piste, combien d'athlètes vivent entièrement de leurs sport : très peu.....et bien sur route, c'est pareil....et c'est donc meme pire parce que des coureurs étrangers viennent prendre l'argent potentiel des coureurs français.....Ou va t'on ?

Un ami de mon ancien club du TCMS à Toulouse, Yacine Lérari a remporté une course en 2003 dans le tarn, a gagné un voyage mais on ne lui a pas remis parce qu'il est algérien et que le voyage était pour un ressortissant français, on n'a pas voulu le dédommager à la place du voyage..... il a bien sur gagner son procés......Voici un article sur cette affaire

C'est la plus belle victoire de ma carrière». Yacine Lerari, coureur de fond réputé dans la région toulousaine, était heureux à la sortie du tribunal correctionnel de Castres hier après-midi. Car ce n'est pas n'est pas une victoire sportive qu'il a remporté mais une victoire judiciaire. Les juges castrais ont en effet décidé de condamner pour discrimination les organisateurs de la course de l'ail rose de Lautrec qui n'avaient pas remis le premier prix à Yacine Lerari lors de l'épreuve d'août dernier alors qu'il avait passé la ligne d'arrivée en vainqueur pour seul motif qu'il n'était pas de nationalité française mais algérienne (voir La Dépêche du Midi du 5 août 2003 et des 21 et 22 janvier derniers). Le syndicat du label de l'ail rose, la MJC de Montdragon, le comité des fêtes de Saint-Julien-du-Puy, co-organisateurs de la compétition, ont été chacun condamnés à 3000 d'amende et à une interdiction d'organiser directement ou indirectement des manifestations sportives pendant deux ans. Ces trois associations devront également verser au sportif 800, équivalent au prix qu'il n'a pas reçu, soit un séjour à la Réunion, 1500 pour le préjudice moral subi ainsi que 1000 pour les frais de défense engagés. Enfin, les condamnés devront également donner solidairement 1000 au Mrap, même chose à la Licra et à Stop racisme Haute-Garonne, qui s'étaient également porté parties civiles dans cette affaire qui a débuté le 3 août dernier.

Pour la 3e année consécutive se tenait la course de l'ail rose de Lautrec. Une course qui a pour but de promouvoir le produit local dans le cadre d'un jumelage avec Petite Ile à la Réunion qui produit aussi de l'ail. Et d'ailleurs le gagnant de cette course pédestre de 14,5km gagne le droit de partir, avec la délégation lautrecoise, en octobre participer à la course de Petite Ile. Le problème c'est qu'en octobre dernier ce n'est pas le premier de la compétition qui est allé représenter la région à la Réunion, mais le second. Car les organisateurs ont refusé de remettre le prix à Yacine Lerari, sportif reconnu qui vit et travaille depuis 10 ans à Toulouse. Motif: le règlement intérieur stipule que la course n'est ouverte qu'aux coureurs de nationalité française qui réside en métropole. Et Yacine Lerari, que l'on surnomme pourtant dans les gazettes sportives «le Toulousain», a un passeport algérien. Bouleversé et choqué, il a porté plainte pour discrimination raciale. Le procès s'est tenu le 21 janvier dernier. Et le délibéré rendu hier lui donne gain de cause.

Citation :

je n'ais rien contre les kényans mais c vrai qu'il n'ont pas grandi comme nous, eux depuis tout petit ils couraient déjà pour aller à l'école, nous en france on avait tous les moyens de transport, mais en même temps on y ait pour rien et c la raison pour laquelle ils dominent largement la discipline.

Salauds de kenyans: ils ont eu la chance d'avoir une enfance miséreuse, pas de bagnole, l'école à 15 bornes. Ils se tapaient le travail aux champs en rentrant... En plus, ils n'ont pas de formation, pas d'autre solution peut-être pour gagner leur vie, et ils courent plus vite que toi ! ah, les enfoirés
Dis-moi, est-ce que tu considères la course à pied comme ton métier ? Si c'est le cas, il est logique d'admettre qu'un bon, dans n'importe quel métier, gagne plus qu'un moins bon.
N'oublie pas, non plus qu'en Afrique, un grand nombre de postes très bien rémunérés sont occupés par des européens. Que les africains viennent rafler les primes en France n'est qu'un juste retour des choses. En plus, ça empêche les bons coureurs français d'atrapper la courge, en les remettant à leur véritable niveau.

et toc

Ironie quand même : le ministère des sports Kenyan a récemment interdit aux coureurs étrangers de toucher des primes sur son propre territoire. Faut pas pousser Mémé dans les orties.

Si vous voulez réduire le nombre de Kenyans sur les courses, rien ne vaut des prix en nature à la place des primes. Ils vont moins se déplacer pour des bons d'achat chez Décathlon, des VTT ou la dernière cuvée des vignerons du coin.

Le pb c'est que les français non plus ne se déplacent pas...

Citation :

texte

n'oubliez pas qu'en + s'ils touchent des primes de départ il sont assujettis aux impots !!! ils participent eux aussi à la richesse de notre beau pays

et toc et retoc