Eole a écrit : Franckche a écrit : Eole a écrit :... On serait presque d'accord au final, sauf peut être sur la vision d'ensemble que tu peux avoir du club idéal polyvalent en tout , ce qui pour moi est quasi une chimère sauf organisation administrative très forte mais qui n'est pas le point fort de l'associatif sportif (faute de volontés individuelles, compétence et appetences culturelles a ca, acceptation de sa nécessité par ses acteurs aussi)
Après pour certains, y aurait aussi désormais des solutions numériques pour porter ça .
Eole, ne crois pas que je sois naïf
Je parle plus haut d'un bassin de population nécessaire pour soutenir ce type d'organisation. Toutefois, pour l'avoir mis en place sur Pélissanne (7 000 habitants - Il y a en France plus de 1 000 villes de plus de 10 000 habitants) dans les années 98-2005, je sais que c'est possible avec le soutien d'un club plus important.
Eole a écrit :Mais sur ce que je vois où ai vu, je suis pas convaincu que l'athle ait pris la bonne voie il y a 20 ans ou alors ce serait aller aussi un peu dans ton sens en considérant que le boulot initial aurait aussi été saboté depuis (??)
Tu connais mon avis
En te laissant souffler un peu , je reviendrai quand même peut être un peu plus tard sur la formation des jeunes et ses chimères pour le développement du secteur compétitif 
.
Etude de 2005 sur les 1000 Minimes des 10 années précédentes (1992-2002, près de 10 000 sportifs concernés par l'étude) : 1 sur 1000 atteignaient les Equipes de France séniors;
Autre étude statistique sur les internationaux Juniors :
- Sur les finalistes mondiaux et Podium Européens Juniors, 1 sur 2 reproduisent leur niveau international Juniors en Seniors s'ils sont pris en compte dans un "dispositif de performance";
- 1 sur 10 s'ils restaient au sein d'une structure n'ayant pas une organisation de performance (suivi et aménagement des études, suivi médical, encadrement en préparation physique et technique ...)
Et là, on parle de gamins engagés dans la compétition. Pour le sens de la mise en place des Baby-EA-PO, il ne s'agit pas de détecter et former des Champions, mais de palier d'une certaine façon aux manques de l'éducation motrice et physique chez les petits qui nous impose, si nous ne le faisions pas, de le faire à l'arrivée au collège pour ces jeunes 