Eole a écrit :... Tous ces jeux d'écritures, paperasses administratives et autres conneries du genre professionnelles , moi c'est pas mon kif quand en parallèle tu vois que çà limite l'action de bénévoles amateurs qui se donnent pour que çà avance tout simplement et surtout opérationnellement...
A ma connaissance, les bénévoles à qui on demande de présenter un dossier d'une façon plutôt que d'une autre ne rencontrent pas de difficultés spectaculaires pour s'adapter
Ils voient très vite l'intérêt de leur association à remplir "correctement" les dossiers 
Après, il est vrai qu'on est loin, mais çà fait longtemps qu'on en est là, de la période où il suffisait de demander une subvention au maire du coin pour qu'il se décarcasse pour la cause (à condition toutefois que le demandeur ait une bouille qui lui revienne)
Eole a écrit :... Combien de présidents de clubs (sans ambitions politiques par ailleurs), lâchent l'affaire ou font de la daube pour ces raisons ?
Tu en as une quelconque idée ?..
Finalement peu parmi ceux qui ont une réelle volonté de développer l'activité du club
Ceux qui abandonnent très vite sont souvent ceux qui se sont trouvé là au détour d'une assemblée générale où personne ne voulait s'impliquer dans le fonctionnement du club et ont presque été intronisés d'office
Ce qui me conforte dans cette évaluation de la situation, c'est que les présidents de clubs ont, particulièrement dans notre pays, une longévité qui n'évoque pas vraiment une lassitude extrême de la fonction 
Le plus souvent, les bénévoles se forment au contact des difficultés qu'ils rencontrent et s'en sortent plutôt bien (pas forcément sans râler, évidemment, sinon on ne serait plus vraiment en France), allant même parfois jusqu'à expliquer aux autres les découvertes qu'ils ont pu faire dans cette démarche

Alors oui, c'est chiant au possible d'avoir de plus en plus à justifier tout et n'importe quoi pour obtenir de moins en moins de moyens de fonctionner et être obligés d'élargir de plus en plus le champ des recherches de subsides (conjoncture défavorable oblige)
mais l'important est qu'in fine on arrive à faire avancer le schmilblick, non 