En_passant a écrit :philathle a écrit :Mais ce n’est pas le cas, à l’école comme après, Et pour corser encore la chose, le haut niveau a tellement de caractéristiques, de contraintes et de difficultés spécifiques que c’est très loin d’être gagné quand un jeune très doué arrive dans un club. Mais on sait tous cela depuis longtemps, et pourtant les associations sont bien l’une des grandes forces de notre pays, et sur lesquelles il se repose bien souvent sans leur donner forcément toujours les moyens de faire efficacement.
C’est un bon résumé ... les questions qui viennent maintenant c’est ... quels moyens et qui et comment les donner ?
Bien entendu les associations ne doivent pas espérer que tout arrivera tout cuit du ciel, mais les individus ont beau se décarcasser c’est dur d’arriver à amener et surtout conserver des jeunes au haut niveau car c’est chronopage et du temps il en faut pour travailler, étudier ... etc. et comme on ne vit pas d’amour (du sport) et d’eau fraîche (il faut boire à l’entrainement ... lol), c’est dur, psychologiquement et physiquement ... il faut des équipements, du matériel ... une hygiène de vie ... tout cela bien organisé ... et bien le constat c’est beaucoup (trop) de déchets.
Bien d'accord avec toi (et aussi coachdave2 dans un post précédent) ! Les difficultés, les freins et les manques se retrouvent dans toutes les étapes du parcours de l'éventuel futur champion d'athlé. Il ne faut donc pas donc s'étonner si tout en haut de la pyramide on ne retrouve que très peu de candidats aux médailles mondiales, et in fine des bilans en trompe l'oeil qui ne dépendent que des blessures et/ou de la réussite le jour J de quelques uns.