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Posté le 03/10/2003 à 09h39 par stathled

Lagat considère que le faux test positif est "aberrant" et veut que l'IAAF suspende ses tests de dopage à l'EPO.
Qu'a t-il dans la cervelle...

stathled

Posté le 03/10/2003 à 10h32 par runner69

Exelent,ca serait vraiement la meilleur en effet.
Le pire c est qu en plus ca pourrait arriver,si il y avait d autre probleme de verification de ce type et accompagné de plaintes.

runner-69 dit " la meduse hemyphlegique du 69"

Posté le 03/10/2003 à 10h35 par Francky

L'EPO ça detruit le cerveau non?

Francky

Posté le 03/10/2003 à 11h47 par runner69

NON! en fait c est beaucoup plus vicieux que ca l EPO!!!!!!

Dabord l athlete cours plus vite mais ensuite a cause du phenomene tres connue d accoutumance il se met a courir sur la tete!!!!
(eh oui! terrible sont les effets secondaire)
.EN plus associé a d autre types d hormones nous pouvons obtenir un renflement tres prononcé des chevilles qui captent tout le sang et stoppe l approvisionement du cerveaux en sang et oxygene et donc par la meme occasion stoppe tout fonctionnement cerebrale.(voire meme entraine l implosion du cerveaux!!!!!!!)
Voila ce qui peut probablement expliquer les propos de lagat,si quelqu un a une autre explications, n hesitez pas !comme vous pouvez le voir je suis tres ouvert!

runner-69 dit " la pingouin asmatique de la banquise lyonnaise

Posté le 03/10/2003 à 12h16 par letsrun

ET EN PLUS IL VEUT DU FRIC.

Le Kényan veut obtenir réparation.
Contrôlé positif à l'EPO, le 8 août, sur son lieu d'entraînement en Allemagne, le Kényan Bernard Lagat vient d'être innocenté par la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF). Mardi 1er octobre, elle a annoncé que l'analyse de l'échantillon B d'urine du coureur de 1 500 m était négative.

Le médaillé de bronze des Jeux olympiques de Sydney, en 2000, peut reprendre la compétition.

"Je suis très heureux que mon innocence ait été reconnue, a déclaré l'athlète. Ces dernières semaines ont été très difficiles. Le faux échantillon A m'a empêché de pratiquer mon métier et de concourir pour une médaille lors des Mondiaux." Il envisage d'engager une procédure pour obtenir des réparations au préjudice qu'il estime avoir subi. Sans révéler son contrôle positif, l'IAAF lui avait interdit de participer aux championnats du monde de Paris, invoquant un forfait pour grippe intestinale. "Il y a des zones d'ombre sur la façon dont sont effectués les tests actuellement", a déclaré Bernard Lagat avant de demander à l'IAAF qu'elle"suspende ce type de test pour l'EPO."

Il est rarissime que la contre-expertise ne confirme pas le premier résultat. Mais elle ne signifie pas, comme le suggère le coureur, que c'est le résultat de l'échantillon A qui est faux. Interrogé par Le Monde, Michel Audran, spécialiste du dopage sanguin, estime que l'erreur est à chercher du côté de l'analyse de l'échantillon B.

Selon le pharmacologue, il y a deux hypothèses : "L'échantillon B a pu être mal conservé. Une conservation par moins 20 °C bloque toute réaction enzymatique ; à température ambiante, l'échantillon perd 50 % d'EPO en 24 heures." On ne sait pas à quelle température le laboratoire de Cologne a conservé l'échantillon B, mais il a effectué la contre-expertise un mois environ après l'analyse de l'échantillon A. "En un mois, conservé à 4 °C, comme le préconise le Comité international olympique (CIO), la concentration d'EPO peut diminuer dans l'échantillon B jusqu'à devenir négative."

Autre hypothèse : "Si le contrôle est effectué au début ou en fin de traitement à l'EPO, le test est plus difficile à interpréter : pendant ces périodes, il difficile de distinguer l'EPO recombinante, c'est-à-dire exogène, de l'EPO endogène." Troisième possibilité-: la manipulation. En août 2001, l'échantillon B avait déjà blanchi l'athlète russe Olga Yegorova, contrôlée positive un mois plus tôt. "Un expert russe envoyé à Châtenay-Malabry avait manipulé l'échantillon B", se souvient Michel Audran. Le laboratoire allemand devra s'expliquer.

OK pour tes explications runner69, c'est dangereux ce truc-là à voir tous les toxicos-dépressifs comme Pantani, Jimenez, VDB qui finissent à l'asile.
Et l'erreur de date/dosage de Chouki est tellement grossière qu'il n'y a que l'accoutumance qui puisse expliquer un tel risque ??