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Posté le 16/01/2017 à 22h30 par HBHB
| Citation : |
| schpountz a écrit :
C'est bien c'est bien, et récemment ? Floria Gueï, Marie Gayot, Aurélie Chaboudez, Stella Akakpo, Baptiste Mischler, Clémence Calvin |
Ceux-la ont tous bénéficié d'horaires aménagés.
Posté le 16/01/2017 à 22h46 par bruno
| HBHB a écrit : |
| Citation :schpountz a écrit :
C'est bien c'est bien, et récemment ? Floria Gueï, Marie Gayot, Aurélie Chaboudez, Stella Akakpo, Baptiste Mischler, Clémence Calvin Ceux-la ont tous bénéficié d'horaires aménagés. |
bruno
Posté le 16/01/2017 à 22h48 par Eole
| bruno a écrit : |
| lp2814 a écrit : schpountz a écrit : C'est bien c'est bien, et récemment ? Floria Gueï, Marie Gayot, Aurélie Chaboudez, Stella Akakpo, Baptiste Mischler, Clémence Calvin  merci mais il n'est pas question de critiquer ceux qui arrêtent plus ou moins prématurément, c'est un choix tout à fait respectable, mais je pense sincèrement que ceux qui le font parce qu’ils ne peuvent pas concilier les deux restent une minorité |
Disons aussi que c'est pas plus simple de travailler que d'étudier tout en voulant faire du sport de "haut niveau" ...
Le double projet en tout cas c'est bien beau mais comme le souligne schpountz c'est pas nécessairement en attaquant les études supérieures qu'on a le plus de facilité pour enclencher une pratique sportive plus intense en même temps
Après on est en France et vaut mieux avoir des parents et/ou des entraineurs pas trop cons pour savoir quand et comment s'investir vraiment dans le sport pour en assumer quelques petites conséquences négatives éventuelles en connaissance de cause .
Posté le 16/01/2017 à 23h00 par schpountz
| bruno a écrit : |
| HBHB a écrit : Citation :schpountz a écrit :
C'est bien c'est bien, et récemment ? Floria Gueï, Marie Gayot, Aurélie Chaboudez, Stella Akakpo, Baptiste Mischler, Clémence Calvin Ceux-la ont tous bénéficié d'horaires aménagés. donc c'est possible |
En ayant des horaires aménagés, oui évidemment 
Mais quand t'habites en province, que tu vas à ton école / fac, à Paris et que t'habites en province. Les premières années, tu travailles au moins 4 jours par semaine en partant le matin tôt et en rentrant le soir tard, généralement le jeudi ça s'arrête à midi. Comment tu peux combattre à armes égales en ayant des athlètes avec appart à proximité de la piste d'entrainement et lieu de travail avec horaires aménagés ?
Sinon regardons cas par cas.
Guei et Gayot : Championne de France CAF, JUF, ESF
Chaboudez : Championne de France CAF, JUF + médaille européenne JUF et ESF.
Akakpo : 2x2eme en CAF, Championne JUF. CHampionne euro JUF + médaillé euro ESF.
Mischler : Champion JUM + Vice-champion 2xCAM, JUM + médaille euro JUM
Calvin : Championne CAF, JUF, ESF + Médaille euro ESF
Donc on voit bien qu'il n'y a que des athlètes qui étaient à la limite d'être très fort et qui ont donc galéré à avoir des horaires aménagés en vue de leur niveau moyen
Tu parles d'études, je te parle de décrocheurs à cause de leurs études, et ça m'envoie des athlètes qui étaient déjà largement au dessus du lot chez les jeunes et qui avaient déjà un statut. Donc je reste dans mon idée, tout ceux que tu ne connais pas et qui ont fortement régressé/arrêté une fois arrivé en espoir pour privilégier leurs études sont largement majoritaires.
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" On m'a dit que les meilleurs partent en premier. Du coup je suis pas prêt de partir " - Schpountz pour vous servir... ou pas
Posté le 16/01/2017 à 23h15 par bruno
| schpountz a écrit : |
| bruno a écrit : HBHB a écrit : Citation :schpountz a écrit :
C'est bien c'est bien, et récemment ? Floria Gueï, Marie Gayot, Aurélie Chaboudez, Stella Akakpo, Baptiste Mischler, Clémence Calvin Ceux-la ont tous bénéficié d'horaires aménagés. donc c'est possible En ayant des horaires aménagés, oui évidemment Sinon regardons cas par cas. Guei et Gayot : Championne de France CAF, JUF, ESF Donc on voit bien qu'il n'y a que des athlètes qui étaient à la limite d'être très fort et qui ont donc galéré à avoir des horaires aménagés en vue de leur niveau moyen Tu parles d'études, je te parle de décrocheurs à cause de leurs études, et ça m'envoie des athlètes qui étaient déjà largement au dessus du lot chez les jeunes et qui avaient déjà un statut. Donc je reste dans mon idée, tout ceux que tu ne connais pas et qui ont fortement régressé/arrêté une fois arrivé en espoir pour privilégier leurs études sont largement majoritaires. |
regarde bien et tu verras qu'il y a d'autres choses derrière, même s'ils pensent sincèrement que c'est pour leurs études
bruno
Posté le 16/01/2017 à 23h48 par schpountz
| bruno a écrit : |
| regarde bien et tu verras qu'il y a d'autres choses derrière, même s'ils pensent sincèrement que c'est pour leurs études |
Mais je viens de tilter.... Gayot et Akakpo étaient à l'INSEP !!!! Donc déjà elles ne comptent pas :p
Par exemple, un cas totalement concret qui se démocratise de plus en plus, c'est Gressier qui a donc désormais un contrat à long terme avec la caisse d'épargne qui va surement lui aménager ses horaires pendant qu'il est sportif de haut, puis va intégrer à temps plein la CE une fois celle ci terminée. Je n'appelle pas cela privilégier ses études/carrière, mais ce n'est pas pour autant que je trouve cela mal, bien au contraire !!!
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" On m'a dit que les meilleurs partent en premier. Du coup je suis pas prêt de partir " - Schpountz pour vous servir... ou pas
Posté le 17/01/2017 à 00h00 par bruno
| schpountz a écrit : |
| bruno a écrit :regarde bien et tu verras qu'il y a d'autres choses derrière, même s'ils pensent sincèrement que c'est pour leurs études
Mais je viens de tilter.... Gayot et Akakpo étaient à l'INSEP !!!! Donc déjà elles ne comptent pas :p Par exemple, un cas totalement concret qui se démocratise de plus en plus, c'est Gressier qui a donc désormais un contrat à long terme avec la caisse d'épargne qui va surement lui aménager ses horaires pendant qu'il est sportif de haut, puis va intégrer à temps plein la CE une fois celle ci terminée. Je n'appelle pas cela privilégier ses études/carrière, mais ce n'est pas pour autant que je trouve cela mal, bien au contraire !!! |
pour la plus part des athlètes ayant le potentiel pour le haut niveau, ces aménagements ou structures sont possibles, il faut les compter...
je ne pas sur que l'exemple de gressier soit si courant que ça, malheureusement
bruno
Posté le 17/01/2017 à 00h34 par Eole
| schpountz a écrit : |
| Tu parles d'études, je te parle de décrocheurs à cause de leurs études, et ça m'envoie des athlètes qui étaient déjà largement au dessus du lot chez les jeunes et qui avaient déjà un statut. Donc je reste dans mon idée, tout ceux que tu ne connais pas et qui ont fortement régressé/arrêté une fois arrivé en espoir pour privilégier leurs études sont largement majoritaires. |
Majoritaires c'est pas si sûr.
Par exemple la régression ou progression limitée provoque le choix (ou la nécessité ou la prise de conscience) de s'investir davantage sur les études . Et apres oui c'est souvent difficile de bien comprendre pourquoi exactement l'athlète en est là
Enfin moi c'est ce qui me fait dire comme toi qu'il n'est pas inutile de se poser des questions assez jeune y compris pour atteindre une sorte de minimum requis de performances à partir duquel l'athlete sera suffisamment au dessus pour tenter sa chance dans de bonnes conditions et avec succes ou échec mais au moins avec une réflexion en amont sur ce qui lui sera possible de faire (enfin c'est ni plus ni moins de l'orientation comme pour l'école et les études quelques part)
Mais bon si déjà on te raconte avec insistance que jusqu'à 15 ans faut pas te presser et te spécialiser , c'est sûr que tu risques pas de t'orienter avec beaucoup de factualité sur ton supposé potentiel (sur ou sous-estimé pour le coup)
On en parle des autres sports chez les jeunes sinon ?
.
Posté le 17/01/2017 à 08h31 par forumiste
| Eole a écrit : |
| On en parle des autres sports chez les jeunes sinon ? |
Tennis 15 ans chez les filles, au niveau mondial, parce qu'en France on a du mal un peu. Caroline Garcia va percer cette année, attention j'annonce . En gym à 8 ans 1/2 j'imagine ... 
Bon personne ne t'a répondu en fait, c'est quand même fort de café . Moi je suis opposé aux France Minimes, voilà c'est dit, faites un sondage exclusif Athled et on verra .
Posté le 17/01/2017 à 09h23 par ALAIN25
| forumiste a écrit : |
| Eole a écrit : On en parle des autres sports chez les jeunes sinon ?
Tennis 15 ans chez les filles, au niveau mondial, parce qu'en France on a du mal un peu. Caroline Garcia va percer cette année, attention j'annonce Bon personne ne t'a répondu en fait, c'est quand même fort de café |
Bref comme disait Pépin ! De la "championnite jeune" ou pas ?
Beaucoup de sportifs (athlètes) n'ont eu AUCUN aménagement d'horaire dans leur académie malgré des titres nationaux tout en réussissant brillamment leur cursus parce que si "tu n'as pas la tronche pour cela" !
Combien peuvent se vanter de vivre (bien) de l'athlétisme jusque 30 ans...et ensuite.
Chacun son choix au final
Posté le 17/01/2017 à 14h29 par philathle
Ben oui, comme beaucoup de topics le sujet initial de celui-ci a été un peu perdu de vue dans des digressions diverses qui n'ont pas vraiment de rapport avec ledit sujet, mais un peu quand même...
On a ainsi été bien en amont de ces championnats minimes avec les Baby athlé, puis très en aval avec la conciliation sport-études supérieures, et on a même évoqué ça et là Heather Arneton qui, ô paradoxe, bien que minime ne doit pas avoir beaucoup à faire de ces championnats de France, encore moins des Baby athlé, et qui, à 14 ans, a certainement déjà fait son choix entre études et sport de haut niveau... 
Alors j'aurais désormais tendance à penser sans plus d’enthousiasme que ça : "Des championnats de France minimes ? pourquoi pas ?", en me disant que finalement ça ne risque pas de changer grand chose, ni en bien ni en mal, aux problèmes de l'athlétisme français. Et si ça peut faire plaisir à quelques uns de devenir champion de France à 15 ans…
Après, le reste n'est souvent que querelles de clochers, à coups d'exemples et de contre exemples tous aussi valables les uns que les autres, et d'arguments presque "idéologiques" parfois soutenus par des statistiques remplies de biais divers.
Posté le 17/01/2017 à 14h35 par ALAIN25
| philathle a écrit : |
| Ben oui, comme beaucoup de topics le sujet initial de celui-ci a été un peu perdu de vue dans des digressions diverses qui n'ont pas vraiment de rapport avec ledit sujet, mais un peu quand même...
On a ainsi été bien en amont de ces championnats minimes avec les Baby athlé, puis très en aval avec la conciliation sport-études supérieures, et on a même évoqué ça et là Heather Arneton qui, ô paradoxe, bien que minime ne doit pas avoir beaucoup à faire de ces championnats de France, encore moins des Baby athlé, et qui, à 14 ans, a certainement déjà fait son choix entre études et sport de haut niveau... Alors j'aurais désormais tendance à penser sans plus d’enthousiasme que ça : "Des championnats de France minimes ? pourquoi pas ?", en me disant que finalement ça ne risque pas de changer grand chose, ni en bien ni en mal, aux problèmes de l'athlétisme français. Et si ça peut faire plaisir à quelques uns de devenir champion de France à 15 ans… Après, le reste n'est souvent que querelles de clochers, à coups d'exemples et de contre exemples tous aussi valables les uns que les autres, et d'arguments presque "idéologiques" parfois soutenus par des statistiques remplies de biais divers. |
Bien vu.
D'autant qu'il n'y aucune obligation de disputer un championnat de France individuel quelque soit l'âge.
Posté le 17/01/2017 à 15h04 par Chrysalide
| philathle a écrit : |
| Et si ça peut faire plaisir à quelques uns de devenir champion de France à 15 ans… |
Perso ça m'aurait fait plaisir et je ne vois pas ce qu'il y a de mal à ça
Posté le 17/01/2017 à 16h32 par Franckche
| schpountz a écrit : |
| bruno a écrit : HBHB a écrit : Citation :schpountz a écrit :
C'est bien c'est bien, et récemment ? Floria Gueï, Marie Gayot, Aurélie Chaboudez, Stella Akakpo, Baptiste Mischler, Clémence Calvin Ceux-la ont tous bénéficié d'horaires aménagés. donc c'est possible En ayant des horaires aménagés, oui évidemment Sinon regardons cas par cas. Guei et Gayot : Championne de France CAF, JUF, ESF Donc on voit bien qu'il n'y a que des athlètes qui étaient à la limite d'être très fort et qui ont donc galéré à avoir des horaires aménagés en vue de leur niveau moyen Tu parles d'études, je te parle de décrocheurs à cause de leurs études, et ça m'envoie des athlètes qui étaient déjà largement au dessus du lot chez les jeunes et qui avaient déjà un statut. Donc je reste dans mon idée, tout ceux que tu ne connais pas et qui ont fortement régressé/arrêté une fois arrivé en espoir pour privilégier leurs études sont largement majoritaires. |
A moi de balancer des évidences :
Tous ceux qui ne sont pas sur un podium Olympique sont largement majoritaires
Et oui, rares sont les élus dans le sport de haut niveau, et cela se répercute sur toute la pyramide, ce qui implique que la grande majorité de nos athlètes Français n’accéderont pas à des aménagement d'études réservés aux athlètes listés Jeunes/seniors/élites, soit un peu plus de 200 athlètes sur 150 000 à la louche (moins de 2%). CQFD
Posté le 17/01/2017 à 16h44 par ALAIN25
| Franckche a écrit : |
| schpountz a écrit : bruno a écrit : HBHB a écrit : Citation :schpountz a écrit :
C'est bien c'est bien, et récemment ? Floria Gueï, Marie Gayot, Aurélie Chaboudez, Stella Akakpo, Baptiste Mischler, Clémence Calvin Ceux-la ont tous bénéficié d'horaires aménagés. donc c'est possible En ayant des horaires aménagés, oui évidemment Sinon regardons cas par cas. Guei et Gayot : Championne de France CAF, JUF, ESF Donc on voit bien qu'il n'y a que des athlètes qui étaient à la limite d'être très fort et qui ont donc galéré à avoir des horaires aménagés en vue de leur niveau moyen Tu parles d'études, je te parle de décrocheurs à cause de leurs études, et ça m'envoie des athlètes qui étaient déjà largement au dessus du lot chez les jeunes et qui avaient déjà un statut. Donc je reste dans mon idée, tout ceux que tu ne connais pas et qui ont fortement régressé/arrêté une fois arrivé en espoir pour privilégier leurs études sont largement majoritaires. A moi de balancer des évidences : Tous ceux qui ne sont pas sur un podium Olympique sont largement majoritaires Et oui, rares sont les élus dans le sport de haut niveau, et cela se répercute sur toute la pyramide, ce qui implique que la grande majorité de nos athlètes Français n’accéderont pas à des aménagement d'études réservés aux athlètes listés Jeunes/seniors/élites, soit un peu plus de 200 athlètes sur 150 000 à la louche (moins de 2%). CQFD |
Non seulement des sportifs ont galéré et d'autres galèreront encore...parce que pour trouver des appuis, une écoute régionale /fédérale alors là guère de monde.
Ne pouvant compter que sur eux-même souvent décrochent.
Posté le 17/01/2017 à 16h53 par Franckche
| Eole a écrit : |
| Par exemple la régression ou progression limitée provoque le choix (ou la nécessité ou la prise de conscience) de s'investir davantage sur les études . Et apres oui c'est souvent difficile de bien comprendre pourquoi exactement l'athlète en est là
Enfin moi c'est ce qui me fait dire comme toi qu'il n'est pas inutile de se poser des questions assez jeune y compris pour atteindre une sorte de minimum requis de performances à partir duquel l'athlete sera suffisamment au dessus pour tenter sa chance dans de bonnes conditions et avec succes ou échec mais au moins avec une réflexion en amont sur ce qui lui sera possible de faire (enfin c'est ni plus ni moins de l'orientation comme pour l'école et les études quelques part) Mais bon si déjà on te raconte avec insistance que jusqu'à 15 ans faut pas te presser et te spécialiser , c'est sûr que tu risques pas de t'orienter avec beaucoup de factualité sur ton supposé potentiel (sur ou sous-estimé pour le coup) On en parle des autres sports chez les jeunes sinon ? . |
+ 1000
Et cela se passe grosso modo en Juniors, car après, ça devient compliqué de s'en sortir.
Dans le domaine scolaire, c'est pareil. Pour l'orientation en classe prépa pour ceux qui visent une école d'ingénieur, ça se passe avant la fin du second trimestre de première. Après, ça devient galère même si tu as travaillé pour avoir le dossier qu'il faut !!!
Posté le 17/01/2017 à 17h01 par Franckche
| ALAIN25 a écrit : |
| Non seulement des sportifs ont galéré et d'autres galèreront encore...parce que pour trouver des appuis, une écoute régionale /fédérale alors là guère de monde. Ne pouvant compter que sur eux-même souvent décrochent. |
Si ton propos est de dire que des sportifs de niveau national ont décroché car il n'avaient pas le soutien de la fédération, je ne vois pas où est le scandale. La fédération, l'état, ne peuvent pas proposer des aménagements à tous.
Si ton propos nous ramène à Ophélie, je manque d'éléments pour juger de ses choix, orientations ... au moment où ils ont été faits.
Ce qui est certain, c'est que même dans un système d'accompagnement parfait, il y a des sportifs qui n'atteindront pas leur objectif, car on parle de haut niveau avec tout ce que cela comporte : blessure, manque de qualité, de motivation pour assumer l'engagement et l'investissement nécessaire ...
Ce n'est pas un jugement de valeur car encore une fois, une médaille ne rend pas plus intelligent. Et j'espère que le plus grand nombre des jeunes qui auront tentée cette aventure extraordinaire du haut niveau en retireront quelque chose de positif, car cela fait grandir, quand bien même on n'atteint pas les sommets.
Posté le 17/01/2017 à 17h03 par forumiste
| Franckche a écrit : |
| Dans le domaine scolaire, c'est pareil. Pour l'orientation en classe prépa pour ceux qui visent une école d'ingénieur, ça se passe avant la fin du second trimestre de première. Après, ça devient galère même si tu as travaillé pour avoir le dossier qu'il faut !!! |
Je dirais même avant, avoir de bonnes habitudes de travail au collège, etc ... Tu finis rarement dans le peloton de tête quand ça accélère en terminale si tu traînais en milieu de peloton avant . Bref, France Minimes pour ou contre ? Hein question .
Posté le 17/01/2017 à 17h15 par Franckche
| forumiste a écrit : |
| Franckche a écrit : Dans le domaine scolaire, c'est pareil. Pour l'orientation en classe prépa pour ceux qui visent une école d'ingénieur, ça se passe avant la fin du second trimestre de première. Après, ça devient galère même si tu as travaillé pour avoir le dossier qu'il faut !!!
Je dirais même avant, avoir de bonnes habitudes de travail au collège, etc ... Tu finis rarement dans le peloton de tête quand ça accélère en terminale si tu traînais en milieu de peloton avant |
Dans le scolaire, tout se passe AVANT la fin du second trimestre de première pour ceux qui visent le plus haut !!!
Pour les France Minime, CONTRE !!!
Non que les Minimes ne soient en capacité de s'aligner à un Championnat de France, mais leur maturité physiologique demanderait à travailler tout les secteurs (aérobie, vitesse, coordination...) pour atteindre leur plein développement. J'ai peur, mais certainement n'ai-je pas une bonne vision de ce que sont les entraîneurs de nos Minimes, que l'appât du gain (de la gloire) fasse omettre rapidement cette dimension cruciale pour l'avenir de ces jeunes au plus haut niveau.
Un demi-fondeur sans vitesse en cadet n'a aucun avenir en athlétisme, y compris au niveau national.
Un sprinteur sans un minimum de travail aérobie et foncier est guère mieux embarqué, car son avenir l'amènera peut être à envisager le 400m et avec 12 Kms/h de VMA ...
Après, vous allez me dire, NNNOOOOOOONNNNNNN, les entraineurs de nos Minimes sont responsables. Il ne feraient pas ça !!!
Je vous crois, tout comme je crois les entraineurs Russes qui nous disent depuis des années qu'il sy arrivent sans rien prendre dans les lancers, car ils maîtrisent mieux la technique et le travail de renforcement que nous
Une pensée pour Manuela et Guy 
Posté le 17/01/2017 à 18h35 par schpountz
| Franckche a écrit : |
| Pour les France Minime, CONTRE !!! Non que les Minimes ne soient en capacité de s'aligner à un Championnat de France, mais leur maturité physiologique demanderait à travailler tout les secteurs (aérobie, vitesse, coordination...) pour atteindre leur plein développement. J'ai peur, mais certainement n'ai-je pas une bonne vision de ce que sont les entraîneurs de nos Minimes, que l'appât du gain (de la gloire) fasse omettre rapidement cette dimension cruciale pour l'avenir de ces jeunes au plus haut niveau. Un demi-fondeur sans vitesse en cadet n'a aucun avenir en athlétisme, y compris au niveau national. Après, vous allez me dire, NNNOOOOOOONNNNNNN, les entraineurs de nos Minimes sont responsables. Il ne feraient pas ça !!! Je vous crois, tout comme je crois les entraineurs Russes qui nous disent depuis des années qu'il sy arrivent sans rien prendre dans les lancers, car ils maîtrisent mieux la technique et le travail de renforcement que nous Une pensée pour Manuela et Guy |
Et donc que penses tu des pointes d'or ?? On est d'accord que c'est une appelation cachée de " Championnat de France de triathlon minimes ".
Je vois ce que tu veux dire quand tu parles des entrainements qui seraient...forcés dans cet axe d'ultra performance. Mais on doit quand même pouvoir réussir à trouver une entente entre ce dont tu parles et faire des éperviers ou de gagne terrain au vortex à chaque entrainement
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" On m'a dit que les meilleurs partent en premier. Du coup je suis pas prêt de partir " - Schpountz pour vous servir... ou pas