Lundi matin, Jérôme Alonzo, comme tous ses copains, s’est certainement réveillé après une nuit difficile. Et si comme il le dit il n’y a pas « péril en la demeure », cette défaite face à Lens est vécue comme un affront. Derrière toutes les lignes, le gardien parisien a vécu en acteur mais aussi en observateur privilégié ce moins bien de fluidité. A Nantes où il aime jouer, Alonzo appelle à la révolte. >>>
seul la revolte nous sauvera!!!