Ce qui frappe ici c'est la météo. On passe de la mousson à la canicule d'un jour à l'autre.
Prendre un taxi, c'est l'assurance d'avoir à marcher autant que d'avoir roulé. Ne sachant pas lire une carte (ils refusent systématiquement les plans tendus, mêmes en mandarin), ils déposent les passagers vaguement à quelques encablurent de leurs destinations.
Le métro, flambant neuf, est beaucoup plus pratique. Il faut par contre accepter d'être compresser par les chinois qui se ruent en poussant dans les trains aux heures de pointe.
Les volontaires et personnels de sécurité sont robotisés, mais se dérident vite si vous prenez la barrière de la langue avec le sourire, il vous demandent alors presque à coup sûr si vous avez un pin's à leur offrir.
Le stade national est magnifique, sans grillages dans les couloirs, ce qui fait que l'on peut se promener à tous les étages et tout autour des tribunes pour observer les épreuves, à condition de rester debout. C'est ce que font les athlètes, d'habitude parqués dans une portion de tribunes, au plus grand plaisir de leur fans, trop contents de pouvoir les approcher.
En cas de pluie, la plupart des rues du village sont inondées, dommage que rien n'ai été prévu pour l'évacuation de l'eau.