Suite d’une affaire évidemment déplorable dont l’athlétisme français se passerait bien…
Et là j’avoue que je ne comprends pas trop. Pourquoi donc la fédé se permet-elle de sanctionner un athlète pour une affaire certes grave mais totalement privée, dont les faits ne concernent nullement l’athlétisme, ne se sont pas déroulés dans le cadre d’une compétition, et, qui plus est, n’ont pas encore fait l’objet d’un jugement pénal ?
Est-ce-que désormais la fédé va se tenir quotidiennement au courant des condamnations ou des simples mises en cause de ses adhérents pour les sanctionner sportivement ? Et pourquoi pas la demande du casier judiciaire pour délivrer les licences ?
En plus, la nature même de cette sanction est pour le moins curieuse. Deux mois de suspension ferme à une période où il n’y a justement que très peu de compétitions, ça ou rien c’est quasiment la même chose ! Alors à quoi tout cela sert-il ?